Ils ont toutes les qualités nos organisateurs. Lorsqu’ils ont vu le texte relatant leurs exploits et dévoilant leurs immenses qualités, ces grands timides ont rougi jusqu’aux orteils. leurs joues de bébés sportifs qui ne s’empourprent d’habitude que sous l’agression méchante de la bise d’hiver, ont cette fois rosies du fait du compliment. Même s’ils ont relevé que la mine renfrognée qu’ils affichent sur les photos jointes témoignent bien mal de leur bonne humeur naturelle. Faut dire qu’elles ont été prises dans l’exercice de leurs fonctions et que c’est la concentration, partie intégrante de leur engagement, qui se lie sur leurs visages durs et fermés.

Le Dédé a même lancé : « cela me gêne profondément d’être mis à l’honneur, alors que Denis le belfortin, dont l’organisation demeure à ce jour le grand modèle de convivialité, n’est pas même cité… »

Alors, obtempérons et citons, au-delà des deux quidams déjà cités et en vrac : Denis de Belfort, Gégé le palois, Michel de Montpellier et Pierrot de Souillac déjà cité. Et il y en a d’autres, mais comme Jeanne Moreau : « j’ai la mémoire qui flanche », et la flemme d’aller trifouiller dans les archives. Que les oubliés me pardonnent. Il en est un toutefois que nous n’oublierons pas, même s’il s’en est allé cycler dans les étoiles : notre Jean-Claude des Clayes-sous-Bois.

Voilà les félicitations remises à niveau et notre Dédé de Lafox content (j’espère). Remarquez qu’il a peut-être raison : sans rien enlever à son talent, il est normal de citer aussi celui des autres.

Patrick