Faire du vélo, c’est se cultiver ! Tenez, un exemple. Hier, lors d’une sortie sur les hauteurs du Caroux, dans l’Hérault, nous avons, Jeanine et moi appris quelque chose.

Tout cyclo de bonne formation et donc curieux de son environnement cycliste a, un jour ou l’autre, trouvé sur sa route : un pont du diable. De ces ouvrages des temps médiévaux la France regorge et il s’en trouve au moins un sur chacune de nos belles rivières. Mais savez-vous pourquoi ils se nomment ainsi ? Et bien sachez que, renseignement pris auprès des services concernés, dans les années 1 000, un certain Satan était chef de service à la DDE, fusionnée depuis avec les DDAF et devenue la DDTM. Désireux de s’installer Diable à son compte, sous inscription juridique en tant qu’auto entrepreneur, le dénommé Satan réussit à quitter l’administration avec force primes et avec un parachute doré : la possession à vie des ponts susnommés. Les scandales dénoncés récemment à propos de Carlos Ghosn ou d’Henri Proglio n’étaient pas les premiers de l’Histoire. Ça aussi le saviez-vous ?

Des ignares vous parleront d’une légende relative à la traversée des ponts sur lesquels le diable aurait installé un péage en âme… n’importe quoi ! Il y a toujours des imbéciles pour inventer des histoires.

Patrick

Le plumitif, en me passant le texte ci-dessus, m’a précisé :« si tu prends, tu dis bien que c’est une couillonade, de celles qui viennent en roulant en automatique ». Je dis…