« Qué malheur ! » Devons-nous encore une fois attribuer notre souci au coronavirus ? Ce serait bien commode, mais pas sûr que ce soit lui le coupable. Un entrepreneur peu consciencieux semble beaucoup plus responsable que lui. Toujours est-il que notre « 650 » n° 48 attend bien sagement dans son enveloppe et ce depuis trois grosses semaines que ce monsieur et son entreprise de charlots ne se magnent un peu la rondelle pour réaliser le tampon encreur que nous avons commandé.
Hélas, ni nous, pauvres clients, ni Cathy, la responsable de la boutique « Tir’plan » de Sète, intermédiaire entre nous et la PME qui fabrique, n’avons le moindre poids pour faire accélérer le boulot et la livraison. Et si pour la suite Cathy et nous-mêmes prendrons nos dispositions vis à vis de cette entreprise de « pinpins incapables », pour ce n° 48 une seule solution : attendre. D’autant, qu’en ce mois d’août la quasi totalité des travailleurs sont partis contracter le COVID-19 sur les plages et il n’est pas même possible de revenir à la solution précédente. Nous voilà donc coincés… et vous aussi, chers adhérents, par la même occasion. Voilà donc où nous a conduit notre volonté de réaliser des économies.
Nous vous adressons nos excuses pour le retard, mais à l’impossible nul n’est tenu. Et Dieu sait si, à la Confrérie, l’impossible nous le réalisons souvent.
Patrick