Ethique

Elle est construite à partir du constat évident que la bicyclette demeure le véhicule utilitaire et de loisir le plus écologique qu’il soit. Enrichissante pour le cycliste, sa pratique bien comprise repose sur le concept cyclo-touriste des origines fait de valeurs humaines et de fraternité.

Sans exclusive mais en grande majorité et jusqu’aux années 1975, c’est la randonneuse à la française chaussée en 650 B qui équipait les randonneurs avides de chaleureuses rencontres et de grands espaces.

C’est pourquoi aujourd’hui, non par nostalgie, comme certains tentent de le faire croire, mais par expérience appuyée sur des années de pratique et sur de vraies analyses techniques, en utilisant sur ses randonneuses les réelles avancées technologiques et en repoussant les gadgets bling-bling seulement destinés à doper le marché, la Confrérie des 650 entend conserver et développer le diamètre 650 B, toujours particulièrement efficace, pour pousser plus loin encore l’idée cyclo-touriste.

Le projet de l’association repose sur deux volets : l’un technique, l’autre éthique.

Le premier entend promouvoir, produire même aujourd’hui, un matériel réellement adapté à la pratique cycliste qui est la sienne, performant et axé sur un réel rapport qualité-prix ; le second milite de toutes les manières pour que s’affirme le rôle majeur du vélo : celui du voyage et de la découverte, de la rencontre des autres et de l’amélioration du vivre ensemble.

Au final, au-delà du simple cadre de loisirs auquel on pourrait la limiter, la Confrérie des 650 se veut être une association engagée sur le plan social et politique au sens large.