Et m… c’est d’jà l’hiver ! Enfin pas encore mais ça ne va plus tarder. Remarquez qu’à la Confrérie on s’en fout un peu, vu que ce n’est pas parce que nous risquerions de nous prendre un quintal de verglas sur les « miches » que nous allons remiser nos machines. Nous, qu’il neige qu’il vente, toujours l’on chante… et l’on roule.
Donc, outre le rendez-vous du 11 novembre déjà largement annoncé par ailleurs, nous sommes résolus à reconduire, quel que soit la météo, notre désormais traditionnelle fête de fin d’année, et à organiser à nouveau notre si bien adaptée sardinade de Noël.
L’année dernière, pour de basses raisons de logistique, la déléguée à la poissonnerie avait décapité les bestioles avant de les compresser dans des boîtes d’alu remplies d’huile, arguant du fait qu’elles seraient plus faciles à transporter ainsi… L’argument ne sera plus admis, considéré fallacieux et reflet de mauvais esprit. Les sardines seront chères, car rares étant donné qu’à force de taper dans le tas les marins pêcheurs nous les ont décimées, mais fraîches. Et le grilladin, déjà pressenti mais dont nous ne révélerons pas encore l’identité, les posera délicatement sur de la braise de sarments de vignes afin qu’une fois cuites les veinards de participants puissent les déguster. Un bon calendos là-dessus, un dessert pas encore élu et un coup de bon rouquin du coin finiront de composer le menu.
Pas plus d’infos pour l’instant, nous reviendrons sur la chose. Mais réservez les week-ends des 11 et 18 décembre, car sur l’un ou l’autre les sixcentcinquantistes vont encore faire très fort.
Patrick